Dans le camps des rebelles

Les rebelles rentrèrent au camp, suivit de deux prisonniers. Les deux prisonniers n’étaient que deux simples hommes a premières vus, mais le regard de beaucoup de gens de camp se transforma en haine lorsqu’ils remarquèrent que c’était des soldats. Le chef des rebelles ordonna que ces hommes soient surveillés par quatre hommes, afin qu’ils ne s’échappent pas. Melys se trouvait dans ce camp, car deux des enfants qu’elle avait recueillit étaient tombé très malade.

En échange des soins, elle devait rendre un service envers eux. Le chef des rebelles, l’avait donné pour travail de s’occuper en quelque sorte des deux militaires. Melys prit Mez avec elle, et alla interroger les deux prisonniers. Il se trouvait dans une sorte de cabanon que les rebelles avait fabriqué avec des grosses branches d’arbre, évidement, celui-ci n’était pas parfait, mais il suffisait à s’abriter de la pluie et du vent.

Melys tenait quelques fruit coupé, sur une grande feuille, elle entra dans le cabanon suivit de Mez, posa la feuille à terre. Elle devait elle-même leur donner les bouts de fruit sachant qu’ils avaient les poins et mains liés. Cette idée lui déplaisait mais elle devait s’y plier afin de sauver ses deux jeunes compagnons.

[PNJ] Mez : [PNJ]
« Melys, pourquoi il faut que nous nous occupions d’eux ? »

Melys ne répondit pas, et commença à tendre un morceau de fruit à celui qui devait être le capitaine.

Melys :
« Ouvrez la bouche si vous ne désirez pas mourir de faim ... Ne vous inquiétez pas ce n’est pas empoisonné, s’ils désiraient vous tuer, ils l’auraient déjà fait....»

Mez bouda dans son coin, et se mit à nourrir l’autre soldat. Tout en lui donnant à manger il marmonna dans son coin. Melys s’arrêta un moment et posa au soldat la question suivante :

« Dîtes moi, pourquoi êtes vous revenu sur Nephtys ? Beaucoup de gens ici sont devenus des rebelles, et pour beaucoup d’entre eux les militaires ne sont plus que des étrangers, et des étrangers indésirables ... »

Melys attendit une réponse du soldat, en attendant Mez avait finit de nourrir le deuxième soldat et quitta le cabanon, tout en faisant la tête.

Zelos et Rigglong furent transportés à travers bois jusqu'au camp de leur assaillant. On les mit dans un cabanon rudimentaire, attachés comme ils l'étaient ils ne pourraient pas défaire leur lien tout de suite. Deux personnes rentrèrent alors sous leur abri, un jeune garçon et une fille légèrement plus vieille d'après ce que voyait le capitaine.

Il s'approchèrent chacun d'un prisonnier, le garçon se mit devant le caporal quand à la jeune femme elle commença à donner à manger au capitaine Zelos. Un peu réticent au début il accepta de recevoir ces fruits dans ça bouche. Habituellement il serait ravi de se faire nourrir par une si jolie fille mais dans les circonstances actuelles il en était tout autre. La jeune rebelle avait pour seule expression la tristesse, et même lorsqu'elle parlait à son camarade, on ne percevais aucune véritable émotion.

Elle arrêta de nourrir Syan alors que son jeune ami sorti du cabanon. Elle posa ensuite l'inévitable question sur la raison de leur retour sur Nephtys.

"Oui de toute manière la seule façon pour nous d'avoir une chance de nous srtir de ce mauvais pas est de nous expliquer. Alors voilà les faits, le Volonia à bord duquel nous servons tous deux est parti il y a maintenant 3 ans? Notre but premier était de trouver une nouvelle terre d'accueil pour notre peuple mais au bout de deux ans, nous avons reçut un ordre de retour. Ne sanchant pas tout tou ce qu'il se passait nous avons fait au plus vite. Une fois arrivé voilà ce que l'on a découvert, une planète ravagée par on ne sait pas quoi."

"Nous somme alors parti à 3 en petit chasseur pour une reconnaissance des alentours mias nous avons été attaqué, un de mes hommes est mort et nous, nous nous sommes crashé dans cette forêt où vous nous avez si gentillement acceuilli. Donc voilà je vous ai racont notre histoire, et maintenant à vous de m'expliquer ce qu'il se passe ici. Comment Nephtys a-t-elle pu changer à ce point en si peu de temps? et pourquoi, bon sang, pouquoi sommes-nous attâchés et traités comme des prisonniers de guerre?"

Melys écouta attentivement l’histoire de Zelos, tout en restant sans bouger, et laissant, comme d’habitude, son visage sans expression particulière. Celui-ci posa également des questions, sur le comment leur planète avait pu à ce point changer, et pourquoi ils étaient ainsi traité. Melys ne désirait pas répondre, et continua de donner donc à manger au prisonnier. Peu de temps après qu’elle ne finisse, elle s’installa par terre, elle ferma les yeux pendant un moment. Puis elle se décida enfin de lui répondre, elle voulait tout lui raconter, raconter comment son admiration c’était transformé en rancœur.

« Vous désirez réellement savoir ? Puisque vous m’avez tout raconter c’est à moi de le faire maintenant. J’ignore si vous vous souvenez des météorites qui représentaient une menace pour cette planète. Toute la population avait rassemblé leurs espoirs en des hommes, des hommes qui avaient promis de les libérer de cette menace. J’ai également eu tort de placer mes espoirs en eux, en effet la catastrophe se produit tout de même, emportant beaucoup de gens, des gens qui avaient prier pour ne pas mourir, pour que leurs proches puissent vivre, pour que personne ne puisse souffrir. Malgré tout, ils eurent des survivants, nous faisons partit de ses survivants, mais ses gens ne peuvent plus croire aux hommes qui leurs avaient promis l’impossible. Et ces hommes, sont tout simplement des militaires, pouvez vous reprochez à ces pauvre malheureux de détester les personnes qui ont leur ont promis qu’ils vivraient heureux, alors qu’aujourd’hui ils ne peuvent pas vivre un jour sans qu’ils pleurent leur disparu ? Pensez vous que ces gens dorment tranquillement comme avant cette catastrophe. Et j’ai tout comme eux une certaine rancune envers les hommes comme vous. Vous devriez accepter cette rancœur comme nous, nous avons accepté de vivre sans nos proches et dans ses conditions qui ne sont pas fort favorable. Je suis avec eux en ce moment car je n’ai pas trop le choix, deux enfants que j’ai recueilli son gravement malade. »

Elle faisait de son mieux afin de retenir ses larmes, mais en repensant à tous ses enfants qu’elle a vu mourir à cause de la famine ou des maladies, ne les empêchait pas de couler.

« La famine et les maladies, que nous ne pouvons pas guérir fait partit dorénavant de notre quotidien … »

La jeune femme raconta son histoire, la voix tremblotante mais sûre et l'air triste, les yeux dans le vague. Son explication bien que très émouvante ne tira pas une larme au capitaine.
Il voulu tout de suite donner sa réponse, du moins apporter son avis à Melys.

*Des météorites? je pensais qu'elles auraient été facilement détruites. Je me demande ce qui a pu clocher. D'ailleurs pour avoir fait autant de dégâts ces météorites ne devaient pas être totalement normales.*

"Je ne peux pas prétendre comprendre ce que vous avez ressenti après cette pluie de météorites. Mais une chose est certaine, cette promesse faite par les militaires je vous l'aurai faite aussi si j'avais été dans leur position. Que croyez-vous qu'il se serait passé si les militaires avaient simplement dit "Non nous ne savons pas si nous pourrons détruire ces météorites." Cela aurait été l'anarchie, des émeutes et des pillages un peu partout. Alors il est vrai que cette promesse a été faite un peu vite et maladroitement mais dites-vous qu'elle vous a permis de vivre en paix jusqu'à cet instant fatidique. Et cela n'aurait jamais été possible sans elle."

Le capitaine pris une pause et regarda la jeune femme, ses paroles n'avait pas eu l'air de la toucher mais Syan savait qu'au fond d'elle Melys commençais à reconnaître le point de vue du capitaine. Il recommença alors son monologue.

"Nous sommes arrivés seulement ce matin sur Nephtys après 3 ans d'absence. Bien que nous soyons militare,nous n'avons jamais entendu parler de cette promesse. Notre rôle est de protéger le peuple au prix de notre vie. Et c'est pour cette raison que nous voulons savoir ce qu'il s'est passé. Vous voulez nous en vouloir? Libre à vous mais sachez que je ne comprend pas votre réaction anti-militariste. Bien que cela soit une promesse militaire la raison de votre haine, je suis sûr que d'ancien militaires survivants souffrent autant que vous? Parceque c'est les militaires qui ont fait cette promesse pensez-vous qu'ils soient heureux de leur échec?"

Attendant une réction de la part de son interlocutrice, le capitaine Zelos renonca lorsqu'il ne vit aucune réaction.

"De toute manière quoique je dise vous avez l'air de vous plaire dans cette vie d'homme des bois. Vous n'avez pas l'air de vouloir savoir ce qu'il s'est passé et j'ai l'impression que vous voulez continuer à vivre ainsi."

A ces mots la demoiselle se leva ce qui clotura la discussion. Syan espérais avoir réussi à faire ouvrir les yeux à Melys. Mais seul l'avenir pourra le lui confirmer.

Melys écouta attentivement ce qui lui disait Zelos, celle-ci n’avait aucune réaction particulière. Bien qu’aucun sentiment ne se dégageait de son visage, cela n’empêchait en rien que Melys réfléchissait sur ce que disait son interlocuteur. Elle préféra se lever, afin de mettre un terme à la discussion, elle quitta le cabanon, tout en essayant de ne pas montrer qu’elle réfléchissait sur la question. Des points forts lui avaient ouvert les yeux, comme leur promesse que les militaires avaient du faire aux civils afin de ne pas les affoler, est ce que tous ces militaires qui ont vu leur planète être ravagée, souffrent-ils réellement ? Toutes ses questions passaient en boucle dans la tête de Melys, Mez avait remarqué que Melys était perdue dans ses pensées. Melys partit près d’une source d’eau non loin du camp afin de laver d’autres fruits, cette fois-ci pour elle et Mez, qui n’avaient pas mangé avec les autres enfants. Celle-ci resta pensive un long moment, Mez arriva derrière elle, plutôt déçu de la réaction de Melys.

[PNJ] Mez : [/PNJ]
« Melys, tu ne vas pas me dire que ce militaire aurait semé le doute en toi ?! J’ai tout entendu de votre conversation, ne le crois pas, il cherche à te faire croire que les militaires souffrent autant que nous de cette situation, mais c’est faux, pendant toutes ces années de souffrances que nous avons enduré, tu peux me dire où ils se trouvaient ?! Dans un vaisseau bien à leur aise !! »

Melys se leva, se dirigea vers Mez, elle se mit à sa hauteur et lui répondit :

Melys :
« Ce sont des hommes tout comme nous Mez, de plus, si ils veulent nous aider afin de se racheter, j’accepterais cette aide … »

[PNJ] Mez : [/PNJ]
« Pourquoi ?! Tu étais la première à dire que tu les détestais !! Je ne te comprend plus Melys … »

Melys :
« J’accepterai nos différents, mais je ne le ferai pas pour moi, mais pour nos compagnons… Nous avons encore deux malades avec nous, nous sommes trop vulnérable à la famine et aux maladies. Et je veux savoir, savoir s’ils souffrent de ne pas avoir tenu leur promesse… »

Melys prit Mez dans ses bras, Mez se calma très vite, et accepta le choix de Melys. Pour Melys l’après midi fut très longue, ne sachant pas comment allaient ses deux compagnons malades. La nuit se passa comme toutes les autres nuits depuis la catastrophe, beaucoup de gens revivaient la catastrophe dans leurs rêves, d’autres avaient du mal à trouver le sommeil, et enfin le reste dormaient sans se soucier de rien. Le lendemain, lorsque le soleil se leva, tous les rebelles étaient pratiquement tous levés, seul les enfants dormaient plus longtemps. Melys et Mez remplirent leur rôle, ils donnèrent à manger aux prisonniers, le matin et le midi, mais cette fois Melys n’adressa aucun mot à Zelos. Durant la matinée et l’après midi, elle s’occupait des orphelins, les plus grands jouaient avec les plus jeunes, certains savaient lire, donc ils enseignèrent la lecture ou alors lisait simplement des histoires aux tous petits. Les livres étaient la plupart du temps des vieux livres récupérés, et ils n’étaient donc pas en très bons états.
En fin d’après-midi, Melys voulait savoir comment se portaient ses deux jeunes compagnons malades. Elle alla voir le chef des rebelles, celui-ci ne lui annonça pas de très bonne nouvelle.

[PNJ] Chef des rebelles : [/PNJ]
« Je suis désolé de te l’annoncer Melys, mais le cas de ses deux enfants ne fait qu’empirer, nous ignorons combien de temps ils leur restent à vivre, mais … »

Le chef des rebelles fut coupé, par Kratos, un rebelle scout qui venait d’apprendre une drôle de nouvelle. Il annonça que des Modifiés auraient quitté le Volonia. Le chef ne comprit pas tout, il se dirigea, avec Melys et Kratos auprès des militaires. Kratos se dirigea vers Zelos et donna un coup de poing à celui-ci.

[PNJ] Chef des rebelles : [/PNJ]
« Monsieur, il me semble que vous nous devez des explications !! Pourquoi des modifiés sortent du Volonia ?! Il me semble dans votre intérêt de nous répondre, si vous ne désirez pas qu’on vous fasse parlez sous la torture !! »

Le capitaine Vit faire irruption d'un coup sec non seulement Melys mais Kratos, qu'il n'avait pratiquement jamais vu si ce n'est entre aperçu dans l'ouverture de la porte quand la jolie rebelle venait lui donner à manger, et également le chef de ce petit groupe de rebelles. Zelos n pu dire un mot car dès leur entrée Kratos lui décocha un formidable coup de poing, comme il n'en avait pas souvent reçut. Le chef lui posa alors des questions auxquelles Syan n'avait rien compris et n'avait donc aucune réponse.

*Des modifiés? Mais que veulent-ils dire par là? Et pourquoi me parlent-ils du Volonia?*

Il tenta le coup et lança sa réponse sur un ton assez ferme mais avec un léger sourire qui n'arrangeait pas la crédibilité de ses propos.

"Des quoi? Des modifiés? La seule chose modifiée sur le Volonia c'est la couleur de visage d'une personne qui oserait goûter à la cuisine du commandant en second !" Il avait les yeux dns ceux du chef et il ne détournait pas le regard. Habitué aux séances d'intimidatoin, il remporta ce premier duel visuel avec le leader de la troupe. Le chef dévia donc se regard et il se posa sur le caporal qui regardait la scène d'un oeil interrogatif se demandant la raison de cet interrogatoire assez musclé. L'homme à la tête de la bande s'accroupit alors la bouche près de l'oreille gauche du capitaine et lui dit avec des mots très convaincants :

[PNJ]Chef des rebelles[/PNJ]
"Je sais que vous, les militaires, et plus particulièrement les officiers, avez été entraînés aux séances de questionnement très poussées et violentes, mais il y a toujours une chose à laquelle tout être humain normalement constitué ne peut résister, c'est de voir un de ses proches subir les pires atrocités devant ses yeux."

A ces mots le caporal et le capitaine comprirent la suite des évènements. Kratos releva le jeune pilote et approcha de son épaule un fer chauffé à blanc.

[PNJ]Chef des rebelles[/PNJ]
"Je vous repose alors ma question, qu'est-ce que des modifiés faisaient à bord de votre vaisseau?"

"Je vous ai déjà dit que je ne voyais pas du tout de quoi vous vouliez parler!"

Un signe de tête du chef et Kratos posa délicatement le fer dut la peau du caporal. Un bruit des plus répugnant et une odeur atroce se mélèrent à l'intérieur du petit cabanon. Le caporal tentait de retenir ses hurlements mais il lâcha tout de même un cri de douleur. Melys bien que impassible durant l'interrogatoire détourna les yeux de la scène, ce n'était vraiment pas le spectale auquel elle voulait assister.

[PNJ]Chef des rebelles[/PNJ]
"Il serait dommage de faire de nouveau tatouage bien particulier à votre ami, capitaine, réfléchissez bien avant de me répondre. Que faisait des modifiés dans votre visseau?"

"Je vous dit encore une fois JE NE VOIS PAS DE QUOI VOUS VOULEZ PARLER !!!!"

Les cris de colère du capitaine furent suivis par ceux de douleur du caporal à qui après l'épaule gauche, la droite été marquée d'une marque brûlante.

"Espèce de malade, vous vous dites civilisé, et vous méprisez les militaires mais vous vous comportez comme la pire bande de mercenaires et de sauvages, prêts à tout pour obtenir ce que vous voulez. Vous détestez les militaires pour leur comportement mais eux avaient un code d'honneur et assez de considération pour la vie humaine pour interdire toute forme de torture. Bien sûr qu'on nous a entraîné, c'était dans l'éventualité de tomber aux mains de gens comme vous."

Ces phrases le capitaine ne les disait pas directement à Melys mais son regard était plongé dans celui de celle-ci durant toutes ses paroles de dégoût.

"Maintenant je sais que vous irez jusqu'au bout et j'ai l'impression que vous ne m'entendez pas. Nous ne savons absolument pas de quoi vous parlez, nous n'avons jamais rencontré ce modifiés, et tout simplement pareque juste après nous atterrissage le caporal et moi sommes sorti en reconnaissance. Je ne vois pas vraiment nous aurions pu les connaître à moins que ceux-ci sachent voler. Désormais c'est à vous de voir, je vous propose de m'ammener au Volonia avec une délégation pour tirer ça au clair. Vous pourrez garder le caporal Rigglong comme assurance si vous le voulez. Vous avez aussi la possibilité de nous tuer tous les deux ici et maintenant mais vous n'obtiendrez jamais la réponse à votre question."

Le chef des rebelles se recule devant tant de détermination. Kratos lâcha le jeune pilote et Melys avait enfin une lueur d'émotion sur le visage. Tous trois sortirent rapidement du cabanon. Zelos avait apparemment réussi à sauver la vie de son subordonné, mais son speach convaincre-t-il le chef d'organiser cette réunion, cela il ne le sait pas encore.

Melys avait suivit Kratos et le chef des rebelles dans le cabanon où se trouvaient les deux militaires. Elle resta sans bouger devant l’interrogatoire, quelque peu violente dès le départ. Zelos ne savait rien, mais pour le chef des rebelles, ce n’était pas une réponse, il le menaça alors avec un fer. Le chef des rebelles lui reposa la question, mais Zelos lui répondit la même chose, c’est alors que Kratos posa le fer sur le caporal qui poussa un crie de douleur, Melys ne pouvait en voir plus elle détourna alors la tête de cette atroce scène. Le capitaine répondait sans cesse la même chose, et c’est alors qu’après la réponse de Zelos, la crie du jeune caporal retentit une seconde fois. C’est alors que Zelos ne pouvait plus supporter les souffrances de son jeune pilote, qui était pour lui injustifié. Zelos leur proposa un marché, c’était d’aller de demander des explications sur le vaisseau même. Kratos posa le jeune caporal, le chef des rebelles quitta la cabanon.

[PNJ] Kratos [/PNJ] :
" Melys, occupe toi de cet homme, passe lui de l’eau froide afin de soulager sa douleur, et met lui des bandages. "

Kratos sortit également du cabanon, laissant Melys devant les deux prisonniers, on pouvait voir sur le visage un sentiment de culpabilité. Après un moment d’hésitation, elle sortit du cabanon en courant, pour aller chercher de l’eau à la rivière. Elle arriva, essoufflée, de nouveau dans le cabanon, avec de l’eau, une serviette et des bandages. Elle mouilla la serviette et la posa sur la première marque de brûlure. Elle se mit à trembler en repensant à la scène qui avait conduit à ses marques. Elle lui posa des compresse mouillé sur les marques puis, lui mit les bandages. Elle se mit alors devant les deux hommes et s’inclina devant eux.

Melys :
« Je m’excuse pour eux, il est vrai qu’ils on eu tort de vous avoir fait souffert autant… Mais il faut que vous sachiez également, que nous avons peur de ses hommes modifiés … Je vous demande alors de ne pas leur en vouloir … »

Melys sortit du cabanon où Mez l’attendait.

[PNJ] Mez : [/PJN] :
« Le chef veut que tu assiste à la réunion de demain Mélys…»

Melys hocha la tête. Le lendemain matin, Melys se dirigea à l’autre bout du camp, il s’y trouvait une cabane plus grande que toute les autres. Elle entra dans celle-ci, puis prit place.

[PNJ] Chef des rebelles : [/PNJ]
« Je te remercie de ta présence Melys. Bien, messieurs, vous savez que nous sommes dans un état critique. Kratos aurait aperçut des modifiés sortir du Volonia. Nous ignorons si les militaires à voir avec cela, mais nous ne pouvons pas rester sans réponse. L’un des prisonnier, c’est porté volontaire pour nous accompagné au vaisseau afin d’avoir plus d’explication. J’aimerais savoir si les personnes qui sont présentes ici parmis nous sont d’accord. »

Aucune réclamation particulière ne se fit entendre, ce qui signifiait que tout le monde était pour le choix que venait de proposer leur chef.

[PNJ] Chef des rebelles :[/PNJ]
« Bien je vais prendre Kratos et Mech avec moi, et demain nous irons au vaisseau avec le capitaine pour recueillir plus d’informations. »

Sur ces dernières paroles, les personnes se trouvant dans la cabane sortirent de celle-ci, Melys se dirigea vers le chef et lui dit :

Melys :
« Monsieur, laissez moi vous accompagner, je veux entendre ce qu’ils ont à dire. »

Le chef des rebelles hocha de la tête en guise de réponse à la requête de Melys. Melys alla alors annoncer la nouvelle au deux prisonniers. Avant qu’elle ne rentre Mez l’intercepta.

[PNJ] Mez : [/PNJ]
« Melys, puisque demain tu pars avec eux, je veux t’accompagner également !! Je ne veux pas qu’il t’arrive quelque chose … »

Melys :
« Mez, demain il ne m’arrivera rien, je serais en compagnie du chef et de Kratos. Que veux-tu qu’il m’arrive ? »

Melys entra dans le cabanon suivit de Mez, elle s’installa devant eux et leur dit alors :

Melys :
« Demain, nous partirons pour le vaisseau Volonia, en votre compagnie monsieur, en laissant ce jeune garçon ici comme otage. Nous serons accompagné du chef des rebelles, de Kratos et de Mech. Je suis venue vous annoncer la nouvelle. »

Melys se releva et regarda le jeune pilote.

Melys :
« J’espère que votre blessure ne vous fait plus souffrir … »

Melys quitta le cabanon, Mez regarda attentivement Zelos et lui dit alors :

[PNJ] Mez : [/PNJ] :
« Je n’aime pas non plus les militaires, mais j’ai une faveur à vous demander, si jamais il arrivait quelque protéger Melys. C’est pour les orphelins et moi, en quelque sorte notre mère à tous. Protéger non seulement Melys mais également le chef des rebelles, que deviendraient toutes ses personnes sans leur bienfaiteur ? »

Après ses paroles Mez quitta le cabanon d’un pas pressé. Le soir arriva, mais également une triste nouvelle. Alors que Melys et Mez donnaient à manger aux prisonniers, le chef des rebelles entra précipitamment dans le cabanon. Il leur annonça le décès de l’un des deux enfants malades. Le regard de Melys se plongea dans le vide et elle fit tomber le plat de fruit. L’enfant qui les avait quitté, n’avait que 7ans selon sa jeune mémoire, après un long moment Melys quitta le cabanon en courant. Elle ne voulait pas pleurer devant Mez et les autres personnes qui étaient présentes. Le jeune enfant fut enterré près d’un arbre, près duquel Melys passa toute la nuit [b][u]à pleurer devant celui-ci.
Le lendemain, Kratos alla chercher Zelos, il laissa les mains de celui-ci ligoté. Ils se dirigèrent vers la sortit du camp où Mech les attendait. Le chef des rebelles arriva suivit de Melys, qui s’était remise de l’émotion de la nuit précédente. Ils se dirigèrent tous les cinq vers le Volonia.

Les quatre hommes et la femme sortirent du camp. Ils marchaient en file indienne Kratos devant suivi du chef, de Mech et de Melys et Zelos marchant côte à côte. Le capitaine avait toujours les mains liées avec une corde que tenait par une extrémité la rebelle à sa droite.

"Vous avez peur que je m'enfuis? Vous savez je ne tenterais rien tant que je sais que un de mes hommes risque sa vie. Et puis c'est une bonne chose que de parler avec nous. Vous comprendrez mieux notre situation."

Mech fit signe à Zelos de se taire et d'avancer sansvruit pour ne pas attirer des animaux dangereux.

[PNJ]Mech[/PNJ]
"Dans votre situation il nous sera difficile de vous protéger. Enfin non pas que je veux vous garder vivant mais apparemment la petite et le chef y tiennent eux alors pour l'instant vous resterais en vie, donc taisez-vous un peu."

Zelos pris ces paroles comme une menace à peine voilée.

"Hmm j'ai comme k'impression que votre ami ne m'aime pas" dit-il à Melys.

Melys eu l'air de désaprouver la remarque de Zelos et lui fit comprebdre que dans ce cas Mech avait raison et qu'il ne fallait pas trop parler dans cette forêt.

Ils arrivèrent alors à l'orée du bois dans une plaine. Ils aperçevaient alors le Volonia à l'horizon.

[PNJ]Chef des rebelles[/PNJ]
"Allez capitaine passez devant pour bien vous faire voir."

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